Trouver un mode de garde adapté, c’est presque devenu une quête du Graal pour beaucoup d’entre nous. Je me revois encore, les premiers soirs d’école, courir entre le bureau, la garderie et la maison, tout en jonglant avec les courses et les devoirs. Autant dire qu’on finit vite à bout de souffle. Alors, comment alléger ce quotidien qui nous met constamment sous pression ?
Pour ma part, j’ai testé deux solutions qui m’ont réellement changé la vie : la garde périscolaire et le babysitting.
La garde périscolaire : bien plus qu’un simple relais
Quand mes enfants sortent de classe à 16h30, je suis encore loin d’avoir terminé ma journée. La garde périscolaire m’a permis de ne plus culpabiliser en les sachant entre de bonnes mains. Ce que j’apprécie surtout, c’est qu’ils ne passent pas ce temps “dans le vide”. On y fait les devoirs, on joue, parfois même on découvre des petites activités créatives.
Je me souviens d’une rentrée où mon fils est revenu fier de m’annoncer que ses leçons étaient déjà bouclées avant même que je rentre. Pour lui, c’était un jeu ; pour moi, un soulagement énorme.
Le babysitting : l’option qui sauve les soirées
Autre besoin, autre solution. Il y a les soirs où on a envie de sortir en couple, de souffler un peu, ou simplement de ne pas regarder l’horloge en permanence. C’est là que le babysitting a pris toute son importance pour moi. Pas besoin de grands discours : avoir une personne de confiance qui s’occupe de vos enfants le temps d’un dîner, c’est tout simplement libérateur.
Évidemment, encore fallait-il trouver la bonne personne… Et plutôt que de multiplier les recommandations entre copines, j’ai préféré passer par une plateforme sécurisée comme Happysitters via leur page Babysitting Paris. En quelques clics, j’ai eu accès à des profils vérifiés et disponibles rapidement. Franchement, je ne reviendrais plus en arrière. Pour information, Happysitters, je l’ai découvert presque par hasard, en cherchant une agence sérieuse sur Paris. Et honnêtement, c’est l’une des meilleures décisions que j’ai prises en tant que maman. Ce qui m’a convaincue, ce n’est pas seulement la sélection stricte des babysitters, mais aussi la philosophie éducative derrière. On ne parle pas de simples “gardes”, mais de personnes formées à l’éducation bienveillante, capables d’apporter de la complicité et pas juste de la surveillance. Puis, le petit plus que j’ai vraiment adoré ? Je n’ai rien à gérer sur le plan administratif. Tout est pris en charge par l’agence. Et avec les aides de l’État, j’ai découvert que cela revenait beaucoup moins cher que ce que je craignais.
Des bénéfices pour toute la famille
Depuis que j’ai mis en place ce système, je vois la différence. Moi, je me sens beaucoup plus légère, parce que je ne cours plus après l’impossible. Mes enfants, eux, profitent de moments de qualité. Ils s’attachent à leurs babysitters, ils découvrent de nouvelles activités, et surtout, ils ont une stabilité dont ils avaient besoin.
En fait, je crois que ce que ça m’a surtout apporté, c’est de la sérénité. Et quand une maman est plus sereine, c’est toute la maison qui respire mieux.
Mon mot de la fin
La garde périscolaire et le babysitting ne sont pas qu’une question d’organisation. Pour moi, ce sont de vraies bouées de sauvetage dans un quotidien surchargé. Avec Happysitters, j’ai enfin trouvé l’équilibre entre ma vie de maman et ma vie de femme. Et je peux dire aujourd’hui, sans exagérer, que je ne pourrais plus m’en passer.